Pendant le confinement, les émissions moyennes de gaz à effet de serre ont baissé de 30%. A l’échelle mondiale, l’un des effets de la crise de la Covid pourrait être une diminution de 8 % de ces émissions sur l’année 2020. Or, il faudrait les baisser de 40% par an si l’on veut atteindre la neutralité Carbone, telle est la hauteur de la montagne à gravir…
Pendant la crise de la Covid les gouvernements ont débloqué plus de 10 000 milliards de dollars pour sauver l’économie du monde, il faut 1 000 milliards par an pour financer la transition Carbone ; il n’est pas une mais DES priorités.
Les incendies de 2019 ont contribué, cette année-là, à % des émissions de gaz à effet de serre.
En 2020 la déforestation en Amazonie a augmenté de 34 % par rapport à l’année antérieure. Cela représente 9 205 de KM 2 ce qui équivaut environ 87 fois la surface de la ville Paris ;
Connaissez-vous la « théorie du scooter » ? Pour un utilisateur de deux roues qui se rend chaque jour de région parisienne vers Paris, la différence de température ressentie est de 4 degrés. Il est 50 villes de plus de 10 millions d’habitants dans le monde qui opèrent comme des chauffages d’appoint de l’atmosphère et tendent, parmi bien d’autres sources, à la réchauffer de 4 degrés.
L’humanité, face au réchauffement climatique, est-elle comme le Titanic face à l’Iceberg, il lui faut 5 km pour virer de bord alors que le bloc de glace est à moins de trois kilomètres.
Un réchauffement de 2 degrés devrait faire monter les océans de 43cm jusqu’à l’année de 2100.
Au-delà d’une température de 50 degrés, la vie humaine est menacée. L’Australie et l’Inde en 2019 ont connue des « Méganicules » de plus de 50 degrés, qui vont cesser se multiplier dans le futur.